brazil Mesdames, (Mesdemoiselles) et Messieurs, voici le premier Programme Radiophonique Expéditif Sans Sommation. Il est plutôt bancal, très bancal, mais c'est le premier jet, et à l'époque j'étais encore un peu précoce... Le premier film servant donc de fil rouge à cette émission, qui aurait du devenir légendaire, est le Brazil de Terry Gilliam. Bon, alors, voilà, pour mes enchainements, mes jeux de mots foireux et tout le tralala, les extraits du film sont en VF. Grave erreur. Ce sera la dernière fois. Les autres Le P.R.E.S.S. seront appuyés sur des films Français Madame (excepté un Russ Meyer qui trainait par là, j'ai eut pitié, je l'ai adopté). Ce sera beaucoup mieux, en tout les cas c'est le souvenir que j'en ai. Et d'ailleurs, à ce propos, si je puis, il n'est pas nécessaire de débuter votre écoute par ce numéro de Le P.R.E.S.S., commencez plutôt par "La Jetée", "Moderato cantabile", Série Noire", ou encore "Made In USA", ou "Pierrot Le Fou". Bref, vous m'aurez compris, j'ai peur que vous ne reveniez pas pour le dessert, si vous commencez par cette petite chose un peu molle, vous y regoûterez une autre fois, peut-être. Voici tout de même le sommaire chères oreilles. Brazil donc, avec par ordre d'apparition de dedans le poste, les Dum Dum Boys qui s'introduisent eux-mêmes (c'est une image), The Warlocks, une migraine, les Bästard, Electronicat, le record de Loïc, Kings Of Leon deux fois, Barry Adamson, un désert éprouvant, Quintron, Thomas Brikman et le rêve américain. Des trucs, des bidules, et Miss Virginie.